Partir au mois de novembre ??? Quelle idée !
Ben oui, j’assume, j’aime bien les images, les situations, les expériences un peu hors des sentiers battus.
Les images insolites de neige sur mes géraniums 🙂 par exemple ou alors quand on me dit : « tout le monde fait comme ceci ou comme cela… » je vous garantis que j’ai juste envie de faire différemment !
Un côté un peu rebelle parfois ? Allez savoir !
En tous cas, j’aime bien partir en vacances lorsque la majorité des gens, qui, comme je l’ai été également, doit se plier aux exigences de leur entreprise, ou aux impératifs scolaires….
Quand on a son activité indépendante, c’est un luxe que l’on peut se permettre, vous ne croyez pas ?
Le voyage
Pour vous, je ne sais pas, mais pour moi les jours précédant le départ sont synonymes d’excitation, d’effervescence : un peu comme si j’étais déjà un peu partie.
Alors je vous envoie ces quelques lignes après un court séjour au Japon, pays que je rêve de visiter depuis plusieurs années déjà. Découvrir une autre culture, d’autres façons de vivre, une autre approche.
Le Japon est un pays qui, à la fois nous transporte dans le passé avec ses traditions, et aussi à l’avant garde avec les nouvelles technologies. C’est assez surprenant et très intéressant.
Rien de tel que le calme dans les parcs et les monastères, le silence, en dépit du grand nombre de personnes, et le respect des autres et des « règles », comme attendre en file indienne pour prendre le train ou les transports en commun. Un peu surprenant lorsque l’on connaît l’effervescence dans nos villes.
Cette pause vacances m’a, une nouvelle fois, permis de prendre conscience de mes priorités, mes valeurs et m’aide à m’approcher un peu plus, lors de chaque expérience, de ce qui me convient et de ce qui ne me convient pas. Ca tombe bien, c’est ce qu’on appelle au Japon : l’Ikigaï (la raison de vivre, la joie de vivre).
L’Ikigaï est propre à chacun(e). En savoir plus.
Préparer (déjà) 2026
2026 pour moi va se composer davantage encore de moments qui me conviennent, et pour cela, c’est indispensable de choisir ce qu’on décide, autant que possible, comment planifier l’année, afin de vraiment sentir cette liberté de choix dans mon emploi du temps, et sortir du sentiment de contraintes et d’obligations.
Pour cela, je vais regarder de plus près comment, en fonction de ce qui est déjà en place, je peux installer des moments qui me correspondent.
En réalité c’est toujours un ajustement selon nos priorités : si nous avons à nous occuper de petits enfants, si nous souhaitons faire une nouvelle formation, si nous avons déjà un emploi à temps partiel, si …. la liste peut être longue 🙂
Composer est le mot qui me vient, composer en fonction de ce qui nous apporte déjà du plaisir, inutile de tout chambouler, mais plutôt tailler, polir, ciseler …. ce qui est déjà là pour optimiser, au fil du temps nos journées, et nos journées vont donner nos mois puis nos années….
Partir de notre vie idéale pour revenir à composer dans les détails ce qui va nous procurer ce sentiment de joie au fil des jours.
Et si on passait au concret ?
Ce retour à soi est nécessaire, indispensable et, je dirais même vital. Retour à nos valeurs, retour à ce qui nous importe dans la vie.
Comment être content de sa vie si on se plie (trop) souvent aux demandes des autres sans s’écouter ? En découle un sentiment de mal-être et de frustration.
C’est bien, chaque année, de revoir « la copie » et de redéfinir ce qui est important pour vous dans votre vie.
Avez-vous aussi eu l’impression, lorsque vous étiez petit, qu’à partir du moment ou on « faisait les choses bien comme il faut », on était sensé être heureux(se) ?
Et continué à vous sentir en décalage avec ce qui était sensé se produire : être heureux(se) ?
C’est pourquoi je vous propose de jouer ce jeu d’ici la fin de l’année : le jeu de dresser la liste de ce que vous souhaitez pour 2026, en y mettant des détails, des éléments concrets, pas seulement des jolies idées !
Je vous souhaite de belles découvertes !
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